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Marie Feyte

C’est la souffrance vécue lors d’attaques de panique qui m’a amenée à enclencher un parcours de recherches. J’étais certaine d’une chose : pour ne pas rentrer dans le cycle infernal des anxiolytiques je devais trouver une méthode, un outil pour m’aider à traverser ce cauchemar. C’est ainsi que la sophrologie a croisé ma route. Quelques années plus tard, en 2012 j’ai souhaité me former à cette méthode, non pas pour devenir sophrologue, mais pour continuer un travail sur moi. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi d’intégrer l’école de sophrologie existentielle de Bordeaux, école dont le premier cycle de deux années était consacré à un travail personnel assez intense. C’est dans cette école que j’ai entendu, pour la première fois, parler d’énnéagramme. Je ne me doutais pas, à ce moment là, qu’il prendrait autant de place dans ma vie et qu’il serait l’outil d’un profond changement intérieur et d’un profond changement dans mes relations aux autres.